Une des premières enseignes de Paris, et on ne l’avions jamais testée…c’est chose faite. Nous avons découvert Gamescape, dans le centre de Paris.
On est chaleureusement accueillis dans un petit espace d’accueil. On pose nos affaires, et c’est parti pour l’explication de notre mission.
L’objectif : tout simplement cambrioler le meilleur cambrioleur, Arsène Lupin. Tout ça pour une lettre. Mais si on la chope, on nous a plus ou moins promis une part du trésor des rois de France. Classe. Même si, intérieurement, ça m’embête de cambrioler un collègue. Avant de pénétrer chez l’homme en question, on s’habille d’apparats d’époque pour passer inaperçus dans les locaux de Gamescape. Une mise en situation agréable et chic.
Nous voilà chez l’intéressé, dans son salon. C’est décoré avec goût, comme on aurait pu l’imaginer. La salle est vraiment propre et les finitions sont au rendez-vous. Le sol, le plafond, les murs, les plinthes, ce genre de détails qui, mis ensemble, donnent une immersion de qualité comme c’est le cas ici.
Ce début de jeu s’oriente autour d’un même élément. L’organisation est primordiale, comme tout la division du travail, l’observation et la communication. Les classiques, donc. Cet élément catalyse l’ensemble de nos efforts, car il comprend des étapes successives. C’est réussi, fluide et agréable à jouer.
La suite de la salle sera tout de même de moins bonne qualité : un espace de jeu trop étriqué pour un groupe, et un nombre d’énigmes trop faible, mais compensé en partie par une certaine difficulté.
Bilan
Notre premier passage chez Gamescape et notre première réussite dans la salle du Gentleman Cambrioleur.
La première partie de jeu est réussie en tous points : les décors sont soignés, adaptés. Le jeu s’oriente autour d’un même élément, qui lui même renverra le jeu ailleurs : encore une fois, c’est réussi. C’est difficile sans être tiré par les cheveux, et ça marche bien.
La seconde partie de jeu est en deçà des standards de la première : un espace de jeu trop petit, et un nombre d’énigmes trop faibles, et une impression moins fluide de jeu. On notera également un nombre élevé d’éléments papiers, même si ceux-ci sont plutôt bien intégrés.
Une bonne aventure, qui ne nous a pas contentés en tous points, mais qui a des points forts indéniables.
– Une première partie de jeu rythmée
– Des beaux décors, fins et en phase avec l’époque
– Moins d’énigmes ensuite, compensé par une difficulté plus corsée
– Un espace de jeu trop faible pour un groupe de plus de 3