Après avoir brillamment réussi la mission « Le casse de Nice », nous affrontons la deuxième salle de Riddle Room. Et, attention spoiler, nous échouons. C’était ça ou le dernier épisode de Game of thrones, j’ai été sympa. Vous pouvez donc arrêter la lecture maintenant.
Pour les plus braves d’entre vous, voilà la suite. Notre mission est cette fois-ci d’enquêter sur la disparition d’un journaliste nommé Léo. Celui-ci nous a laissé un message où il est question de la Guilde de Saint-Luc, à Florence. C’est donc par ici que vont se diriger nos investigations. Le commissaire de la mission précédente ayant pris du repos, c’est un homme encapuchonné façon secte qui nous donne les dernières recommandations.
Cette salle nous donne plus de fil à retordre que la précédente ! Les énigmes sont plus complexes et certaines nécessitent plusieurs étapes pour y parvenir. Certaines énigmes sont subtiles et jouent sur les mots. En revanche, une énigme du type « suite logique » est un peu décevant. Dans l’ensemble, le jeu est fluide et la non-linéarité des énigmes permet de se diviser le travail.
Le décor est un peu simple dans la première pièce : on nous avait quand même parlé de Florence. Par la suite, c’est une toute autre ambiance, au travail plus poussé, qui nous ravira davantage. Quelques éléments à manipuler sont appréciables, mais peu nombreux.
Bilan
C’est une salle agréable à jouer et fluide. La difficulté de jeu est plus élevée que Le casse de Nice. La salle contient un peu de fouille, quelques manipulations, quelques énigmes de bonne qualité. Vous en aurez tout à fait pour votre argent. Pour les grands habitués qui cherchent de l’effet « wahou » et de l’exceptionnel, ce ne sera pas forcément une salle pour vous. En revanche, on apprécie une fois de plus la mise en scène vraiment réussie par le game-master.
– Un jeu dynamique, non linéaire
– Quelques énigmes subtiles, qui jouent sur les mots.
– Un décor plus poussé dans la deuxième partie du jeu que dans la première, où il est plus basique
– Une salle ‘classique’ où l’on aurait aimé davantage de petites choses inattendues
