Escape Prod mise sur ses licences BD avec Blacksad. Après avoir déchiqueté le record de la salle précédente (record que nous avons gardé 27 minutes en tout), on s’attaque à celle-ci.
Notre mission : nous infiltrer dans le repère d’un génie criminel, déjouer ses pièges pour trouver la preuve de sa culpabilité. Alors oui, on va chercher une preuve de culpabilité, mais de quoi ? On trouvera. Les méchants sont souvent assez méchants.
Pas besoin de connaissance pour la salle, et ça tombe bien, j’en ai pas. Le décor de la salle est globalement moyen. Rien de fou, du sobre. Pour avoir finalement consulté qlqs pages, on ne retrouve pas tout à fait l’ambiance de la BD. Sinon, chez Escape Prod, on mise sur le dynamisme, et ça marche.
Des petites et moyennes énigmes, plus ou moins originales, et parfois assez éloignées du scénario.
Les sens seront mis à épreuve dans cette aventure, avec quelques mécanismes notoires. Un certain côté vintage qui pourrait étonner les jeunes joueurs.
Bilan
Le criminel de génie n’en était finalement pas un, vu la qualité de ses pièges. Mais on lui pardonne.
Escape Prod propose une aventure dynamique sous couvert d’une identité Blacksad présente mais pas assez imposante, notamment dans les décors. On aurait aimé qlq chose de plus feutré, plus classe. Certains parties ont souffert du temps, comme moi.
Sans lien avec l’enquête, les énigmes sont courtes et agréables. Avec quelques surprises dans la résolution de celles-ci, on peut y trouver son compte.
– Une aventure classique et dynamique
– Une salle taillée pour les familles, de par sa difficulté
– Des énigmes trop éloignées de l’enquête parfois
– Un décor à retravailler